Quatrième de
couverture
Plus personne ne se passionne pour la politique et pourtant chacun pressent les dangers à venir. L'auteur propose une analyse de la nouvelle ère du politique qu'il nomme "machidial", contraction de machinique et de mondial. Avec beaucoup d'humour, il dresse un constat négatif de cette conversion du politique qui vit au jour le jour, sans allégresse.
