J'ai mal à ton âme

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 235 pages
Poids : 270 g
Dimensions : 13cm X 20cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-915681-92-5
EAN : 9782915681925

J'ai mal à ton âme

de

chez Ed. des Traboules

Collection(s) : Romans

Paru le | Broché 235 pages

18.50 Indisponible

Quatrième de couverture

Le mythe de Faust... Celui de l'éternelle jeunesse... Et si le marché consistait à vouloir inverser les termes du contrat ? Entre un père agrégé de Lettres et une mère Proviseur, dominatrice et cruelle, Pierre, 15 ans, sensible, perspicace, intelligent, solitaire, souffre d'un manque d'amour. Anti-Faust en quête d'un remède pour guérir son «mal à l'âme», il a décidé, contre toute attente, de troquer sa jeunesse contre une vieillesse prématurée. «Adieu, mes vertes années, de curiosités, d'aventures, d'escapades, de caprices, de privautés, de tours pendables et de jeux malaisés. Je suis grimé en vieux pour une bonne lune au moins, peut-être pour un lustre, voire pour la vie». Pas question cependant d'un pacte avec le diable. Sa vieillesse sera celle de l'âme et non celle du corps. Mais son père, avant de mourir, lui a réservé une surprise : le «cahier noir» dont il faut poursuivre l'écriture... Roman miroir où des récits se superposent. Roman de l'adolescence à la recherche d'elle-même. Roman d'un simulacre de crépuscule où des voix se rejoignent dans une communion insoupçonnée. La lumière va-t-elle cependant l'emporter ?

Biographie

Né en 1906, Pierre Molaine, après des études de Lettres et de Droit, embrassa la carrière des armes.

Officier supérieur de régiments blindés, Pierre Molaine (pseudonyme de Léopold Faure) cultiva, dès 1938, en contrepoint d'activités militaires le plaçant, pour le temps d'une guerre, sous les ordres directs du colonel de Gaulle, le goût et la veine des arts littéraires.

Peintre des sentiments violents et de héros hors du commun, il obtint le Prix Renaudot en 1950 pour Les Orgues de l'enfer et poursuivit une production romanesque régulière et discrète, alors qu'il avait quitté l'armée pour intégrer l'Education nationale comme professeur de Lettres.

Romancier, essayiste, salué comme un styliste soucieux d'une très grande exigence formelle, il s'est toujours tenu volontairement à l'écart de la vie littéraire parisienne.

Il s'est éteint en l'an 2000.