L'aérostat dirigeable, une vieille idée moderne

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 119 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 21cm X 30cm
Date de parution :
EAN : 9782913788596

L'aérostat dirigeable, une vieille idée moderne

de

chez la Plume du temps

Collection(s) : Ecologie, nature, santé

Paru le | Broché 119 pages

Tout public

28.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Que les gaz à effet de serre, tel le CO2, soient ou non responsables des modifications climatiques observées, ils ont au moins un grand mérite: celui d'être un bon support pour les taxes en tous genres.

Cependant, s'il est un secteur particulièrement polluant et malgré cela en plein développement, c'est bien le transport aérien actuel dont on évite manifestement de trop parler, y compris dans les grandes messes mondiales sensées se pencher sur la santé de la planète qui héberge pourtant l'humanité. Malgré cela, suivant la Communauté Européenne, il est déjà responsable de 10% de la pollution aérienne et d'ici 2025, autrement dit demain, les 35 000 avions commerciaux opérationnels prévus feront monter cette pollution vers 15 à 18 %.

Jean-Marc Truchet

Naturellement, il convient aussi de ne pas oublier les nuisances en tous genres, comme le bruit, l'éloignement des zones urbanisées, ce qui impose des délais de transits de plus en plus importants auxquels il faut aussi ajouter des formalités d'embarquement qui ne vont pas dans le sens de la simplification...

N'oublions pas également que le transport aérien se développe au rythme de 7 à 8% l'an, ce que largement, il doit à diverses facilités fiscales dont la détaxe du carburant n'est pas la moindre.

Mais que peut-on imaginer d'autre?

Revenons un peu en arrière et observons ce que les Anciens ont construit et quoi que l'on en dise, réussi... Que n'a-t-on pas dit et écrit concernant les aérostats dirigeables! Aujourd'hui, certains pays comme l'Allemagne l'envisagent à nouveau comme moyen de transport régional, particulièrement respectueux de l'environnement, confortable et sécurisant, grâce par exemple, à l'utilisation de l'hélium, gaz totalement ininflammable.

Est-il vraiment nécessaire de voler à 850 km/h pour aller de Paris à Lyon en 50 minutes alors que plusieurs heures en attentes diverses sont nécessaires avant, durant et/ou après un vol en Airbus ou en Boeing? Durant ce temps, les plates-formes aéroportuaires des métropoles régionales, pourtant payées par le contribuable via les Chambres de Commerce et d'Industrie, ferment les unes après les autres ou survivent, faute de passagers... Lequel passager et contribuable a déjà financé de développement d'avions sensés assurer ce service...